Publié le 2 Avril 2019.
(IMPARTIAL ACTU)- L’ONG Action Internationale pour la promotion du développement (AIPD), a célébré en différé la journée internationale de la femme, avec les Femmes musulmanes samedi 30 mars 2019, à la maison du Hadj de Lomé. C’est l’occasion pour les responsables de cette ONG de lancer les activités de l’acte 1 du Salon International de la femme musulmane, qui se sont déroulées sur les mêmes installations.
“Femme musulmane, compétences et influence », c’est sous la coupole de ce thème, que les activités au menu de cet important rendez-vous créé pour les femmes musulmanes, se sont déroulées. Le salon est un cadre idéal qui permettra à la femme musulmane de se réveiller et de prendre ses responsabilités pour aller prendre la place qui est la tienne au sein de la société.
Pour les responsables de l’ONG AIPD, le salon est une grande opportunité pour la promotion de l’implication des femmes musulmanes, dans les affaires politiques, mais aussi socio-économique, en vue d’atteindre sans aucun obstacle les ODD5. C’est pourquoi, explique ces derniers, le projet se veut une plateforme, devant permettre de valoriser la femme musulmane et son influence dans le temps et dans l’espace.
Toutes les femmes musulmanes ayant pris par aux activités de ce salon, le samedi ont toutes vanter les mérites du projet. Elles ont aussi reconnu que la rencontre, a été une réelle opportunité, pour elles de s’approprier les stratégies à mener pour devenir une femme leader, et d’avoir l’estime de soi pour la réalisation de ses ambitions professionnelles.
Deux raisons fondamentales, ont été au Centre de l’organisation du salon, selon le président du comité d’administration de l’ONG Action Internationale pour la promotion du développement(AIPD) FARE Hassan.
“Au niveau de l’AIPD, qui est une association togolaise, après plusieurs activités, a décidé cette année de lancer le premier salon de la femme musulmane pour deux raisons. La première , nous avons constaté que l’islam a donné la liberté à la femme de s’exprimer librement. Mais pour des questions d’ignorance et des valeurs culturelles, ces femmes sont un peu marginalisées. C’est pourquoi nous avons jugé bon de se retrouver pour outiller les participantes à fin qu’elles puissent agir dans la société. Lesecond aspect est qu’avec le programme du genre qui vient corroborer ce que l’islam avait déjà prévu des années pour permettre à la femme musulmane de s’afficher dans la société”, a-t-il bien expliqué.
Julien Maréchal.